Lors de la dissolution de l’association des Anciens du Commando Vigan-Braquet, en 2004, l’Assemblée générale a décidé de mettre ses archives à la Médiathèque Léon-Alègre en illustration l'insigne du commando, et le Commandant Georges Vigan-Braquet.
En 1941-1942, les groupes locaux de Résistance constitués autour de personnalités locales (Marceau Lapierre à Saint-Jean-du-Gard, Raoul Trintignant à Pont-Saint-Esprit...) se rassemblent au sein de mouvements implantés dans la zone sud.
Dans le Gard, les groupes non communistes rejoignent pour la plupart Combat, alors que Libération et Franc-Tireur démantelés à Nîmes en septembre 1943, ne parviennent pas à s'implanter durablement dans le département. Dans le même temps, malgré de nombreuses arrestations, des militants communistes parviennent à reconstituer une organisation clandestine qui diffuse la presse et les tracts du PCF : ils implantent d'abord à Nîmes, à Alès et dans le bassin minier, des groupes du Front national de lutte pour l'indépendance de la France, notamment sous l'impulsion de Léo Rousson. Parmi les autres mouvements, il faut citer l'Organisation de Résistance de l'Armée dirigée et structurée à partir de l'été 1943 par Georges Vigan-Braquet et A.F. Versini et implantée à Bagnols-sur-Cèze. ©AERI (Association pour les Etudes sur la Résistance Intérieure)
Ce fonds s'enrichit par les dons des Anciens du Commando Vigan-Braquet tels que Emile Vierne et Henri Bagnol.